Les derniers jours des Romanov (Robert WILTON)

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Les derniers jours des Romanov (Robert WILTON).

 

Comment peut-on encore passer sous silence les dessous de la Révolution Russe ? Celle-ci fut préparée et financée par les services allemands et certains banquiers “germano-américains”. Avec la prise du pouvoir par les bolcheviks et la signature d’une paix séparée à l’Est, l’Allemagne croyait pouvoir gagner la guerre rapidement en retournant toutes ses forces sur le front occidental, et préparait déjà l’après-victoire – et là un rétablissement du trône russe. en renversant le régime révolutionnaire ainsi mis en place et utilisé. Alors que les ultimes offensives allemandes de 1918 battaient leur plein en France et que la guerre civile commençait en Russie, les services germaniques se heurtèrent au refus de Nicolas II d’entériner le traité de paix séparée les bolcheviks récupérèrent ensuite et firent assassiner le Tsar et les siens. La vérité était en fait déjà connue à l’époque, notamment par les renseignements militaires français – grâce à leur propre travail et quelques témoignages – dont celui de Robert Wilton. Mais l’expression de cette vérité a toujours été entravée, pour de multiples raisons. Et les non-dits, les mensonges, ont ainsi réussi véritablement à falsifier “officiellement” la représentation, jusqu’à nos jours, de ces événements, qui ont pourtant décidé de l’Histoire même du XXème siècle.
“Les causes du retard de cette édition française restent mystérieuses : la deuxième partie du manuscrit fut égarée, mais comment et par qui, l’auteur ne l’a jamais su. Il a fallu refaire la traduction, et trouver un nouvel éditeur. Ce récit contient la seule version authentique du complot germano-bolchevique contre la Famille Impériale de Russie et du crime d’Ekaterinebourg, accompagné de documents officiels provenant de l’enquête commandée par l’amiral Koltchak. Afin d’étouffer les révélations par trop compromettantes de ce récit, des infiuences bien puissantes ont été mises en jeu (.). Nicolas Il a péri parce qu’il tenait à rester fidèle à son peuple et à ses engagements envers les Alliés. Son nom mérite d’être dûment honoré par ses frères d’armes, il le sera peut-être au moins par les Français.” R.Wilton, 1921

 

366 pages.

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Poids 0,7 kg